Il a fait très beau aujourd'hui.
La preuve.
V O U S A V E Z U N N O U V E A U M E S S A G E
L U C I O L E
La preuve.
V O U S A V E Z U N N O U V E A U M E S S A G E
L U C I O L E
Quand les yeux encore remplis de nos histoires.
Jme suis posée trois fois devant ce clavier sans réussir à lui trouver une quelconque utilité. Trois fois de suite mes fesses ont écrasé le tas de je ne sais pas quoi qui traine déjà sur ma chaise de bureau. J'ai été prendre une douche comme pour enlever le nuage de somnolence qui plane sur mes neurones, comme pour retrouver une vivacité d'esprit. A tatons je cherche mes marques. Pester contre le monde peut cacher ce qu'on veut, exacerber les expressions, mais ça ne changera rien en définitive. Quatre heures que mes pieds se sont faits tremper par une pluie abondante. Quatre heures et toute sèche: de mots, d'envies, de motivation, de but, de Vous.
Putain, six mois, c'est vraiment trop long.Vendredi 4 janvier 2008 à 0:33
Rendez-vous dans quatre ans,
quand nous serons riches et célèbres,
pour admirer la fin du monde ensemble.
On ferait des bras de fer. On danserait comme des fous en tournant très vite pour faire voler nos jupes. On jouerait avec la nourriture comme des gosses. On dirait des bêtises. On parlerait sérieusement de choses dérisoires. On parlerait dérisoirement de choses sérieuses. On se ferait les yeux doux. On se dirait des trucs tendres, genre nian-nian. On ne penserait pas au plus important. On sortirait dans le froid juste pour attendre rien. On visiterait la ville de nuit, les mains dans les poches. On oublierait le monde mais en serions les rois.
Jvous le rappellerai.
quand nous serons riches et célèbres,
pour admirer la fin du monde ensemble.
On ferait des bras de fer. On danserait comme des fous en tournant très vite pour faire voler nos jupes. On jouerait avec la nourriture comme des gosses. On dirait des bêtises. On parlerait sérieusement de choses dérisoires. On parlerait dérisoirement de choses sérieuses. On se ferait les yeux doux. On se dirait des trucs tendres, genre nian-nian. On ne penserait pas au plus important. On sortirait dans le froid juste pour attendre rien. On visiterait la ville de nuit, les mains dans les poches. On oublierait le monde mais en serions les rois.
Jvous le rappellerai.
Jeudi 3 janvier 2008 à 0:48