La mélancolie quoi qu'on en dise
Sublime l'heure et les saisons
Telles douces-amères friandises
Qui n'aurait de douceur que le nom.

Ajoutez-y à votre guise
Un peu de menthe et de citron
Puisse enfin la brise,
Les lueurs du couchant
Guider sans faillir
Hanches et palpitants.

Louons mes amis, 
A la vie, à la mort,
Ces langueurs qui soignent
Le coeur, l'âme et le corps.

          En constante période de demande. Sans réponse aucune. Pas dans les domaines attendus du moins. Quarante cinq minutes pour sortir deux vagues mots ayant du sens. Merci tout court. J'espère que ça suffira. Sortir toujours les mêmes mots et les mêmes sujets. Croire que les rôles sont inversés. Les enjeux ne sont pas les mêmes. Pas être sûre de s'être bien exprimée. D'avoir été claire. Savoir ce que l'on veut mais pas où le trouver.

Deux pas de deux en entrechat
En attendant la relance.
Boniments et langue de bois
Qu'importe tant que ça se danse.
Deux pas de deux en entrechat
En attendant la relance.
Commères sur jambes de bois
Qu'importe tant que ça se danse.
Complaisance mauvaise foi
En attendant la relance.

          Cette même tronche stupide. Ce même comportement absurde. Une vitrine où exposer.  Ce que l'on veut faire voir. Juste ce que l'on veut. Pas une charognarde. Pas de viande à batailler. Un corps vide de tout intêret. Une page de tourner. Une qui vous souffle dans les cheveux depuis le tas du dessous. Gentimment. voire agréablement. Sans problème. mais aucune qui ne s'ouvre. Juste la boite à problème a été dévérouillée. Personne n'avait rien demandé. Vivre en paix. Egoistement comme il est dit. Cet article est vide de sens et je m'en fous. Jvous emme*** tous. Nah.

Il est venu le moment aux alentours d'ici maintenant,
A la croisée des chemins.
Peut-être nous recroiserons nous un jour prochain, qui sait?
Tout a l'heure, après demain.

A la croisée des chemins

Au  hasard, au détour d'une rue 
A la pointe où l'on est, en avril ou en juin
Peu importe l'endroit, l'occurence, la ville, les circonstances
D'ici la porte toi bien, tout à l'heure, après demain.µ

[Lyrics by Tété]

Samedi 30 décembre 2006 à 2:41

Par try.again le Samedi 30 décembre 2006 à 15:13
C'est de toi le poème? (enfin si c'en est un..)
Moi je l'aime cet article. Et jvous emme*** tous si vous vous en fichez. Nah.
Puis ya eu une embrouille avec les parents au sujet de mon orientation. Et jraconte ma vie sur un commentaire. N'importe quoi. Oui mais aussi jpeux plus me co. Mais là c'est pour de bon. C'est pas la ptite privation d'ordi de deux jours jcrois. :S
Heureusement reste les sms. Pfiou sinon jsais pas cque jdeviendrai si on était amenées à ne plus se parler. Bon là jfais tout plein de fautes d'accords et d'orthographe, jsais meme plus écrire ('on s'en fout Lilie' 'ah..ok jme tais :p').
Bisous ma Blondasse préférée. Jte nem plus que lpoulet!
(k)(k)(k)
Par larme-de-lait le Lundi 15 janvier 2007 à 13:02
Comment dire. Ce texte ... "vide de sens" comme tu dis, il te retourne dans tous les sens, justement. On aperçois une raison, on frôle une indication qu'on est bringuebanler ailleurs. J'aime ça. Ce mouvement. Ce flus continu de paroles. De mots joliment agencés.
Par gclub ทางเข้าล่าสุด le Mercredi 4 octobre 2023 à 6:29
Value what we have, that is the very thing my mom generally shared with me.
 

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