Je vous vomis, vous qui transpirez l'amour à dix kilomètres à la ronde. Vos euphoriques enthousiasmes. Vos plaintes infondées. Vos interminables déclarations. J'execre vos coeurs dégoulinants d'amour. Tous vos rendez-vous parfaits. Avec vos amants parfaits. Et vos histoires parfaites. Jme tais devant vos débordements intempestifs et jessaye de ne pas vous offusquer. Jvous jette à la figure vos regards brillants, la larme coincée, entre alacrité et douleur, cherchant une oreille, une main ou une épaule. Avec ça, jdeviens aigri. Merci bien.

Dimanche 4 février 2007 à 0:56

Jveux croire au Père Noël comme on peut croire à la Vierge Marie.
Je vomis toutes vos histoires et états d'âmes.
Je lacère les miens à grands coups de ciseaux.
Bonne Nuit.

Dimanche 7 janvier 2007 à 23:49

La mélancolie quoi qu'on en dise
Sublime l'heure et les saisons
Telles douces-amères friandises
Qui n'aurait de douceur que le nom.

Ajoutez-y à votre guise
Un peu de menthe et de citron
Puisse enfin la brise,
Les lueurs du couchant
Guider sans faillir
Hanches et palpitants.

Louons mes amis, 
A la vie, à la mort,
Ces langueurs qui soignent
Le coeur, l'âme et le corps.

          En constante période de demande. Sans réponse aucune. Pas dans les domaines attendus du moins. Quarante cinq minutes pour sortir deux vagues mots ayant du sens. Merci tout court. J'espère que ça suffira. Sortir toujours les mêmes mots et les mêmes sujets. Croire que les rôles sont inversés. Les enjeux ne sont pas les mêmes. Pas être sûre de s'être bien exprimée. D'avoir été claire. Savoir ce que l'on veut mais pas où le trouver.

Deux pas de deux en entrechat
En attendant la relance.
Boniments et langue de bois
Qu'importe tant que ça se danse.
Deux pas de deux en entrechat
En attendant la relance.
Commères sur jambes de bois
Qu'importe tant que ça se danse.
Complaisance mauvaise foi
En attendant la relance.

          Cette même tronche stupide. Ce même comportement absurde. Une vitrine où exposer.  Ce que l'on veut faire voir. Juste ce que l'on veut. Pas une charognarde. Pas de viande à batailler. Un corps vide de tout intêret. Une page de tourner. Une qui vous souffle dans les cheveux depuis le tas du dessous. Gentimment. voire agréablement. Sans problème. mais aucune qui ne s'ouvre. Juste la boite à problème a été dévérouillée. Personne n'avait rien demandé. Vivre en paix. Egoistement comme il est dit. Cet article est vide de sens et je m'en fous. Jvous emme*** tous. Nah.

Il est venu le moment aux alentours d'ici maintenant,
A la croisée des chemins.
Peut-être nous recroiserons nous un jour prochain, qui sait?
Tout a l'heure, après demain.

A la croisée des chemins

Au  hasard, au détour d'une rue 
A la pointe où l'on est, en avril ou en juin
Peu importe l'endroit, l'occurence, la ville, les circonstances
D'ici la porte toi bien, tout à l'heure, après demain.µ

[Lyrics by Tété]

Samedi 30 décembre 2006 à 2:41

J'étais prête. Dans la bonne position. J'attendais plus que le marchand de sable passe et fasse correctement son travail. Et là, une odeur que je connais bien me brûle les narines. Ah non. Pas maintenant. Un coup de déo pour arranger ça. Et puis quoi encore ! Et voilà que maintenant jvais avoir le droit de m'endormir avec l'odeur d'un homme qui n'est pas là, d'un homme qui n'existe pas. Merci bien. Jsens mon coeur qui bat très vite dans ma poitrine. Mes yeux ne picotent toujours pas. Mais les idées font du trampoline dans ma tête. Jcrois même que jles entend rire comme des folles. Après ça, Jvais avoir que 5h30 de sommeil dans les pattes. Pourvu que je dorme dans la voiture.

Lundi 27 novembre 2006 à 1:06

A croire que certains aiment jouer avec mes nerfs.


Les questions, il suffit de les poser. Qu'est-ce qui t'en empêche? Je ne répondrais que si je veux. Parce que c'est Ma vie. Et que tu dois vivre la Tienne. Vis, on ne te l'a que trop répété. Et arrête d'être désolée toutes les trois secondes. Et arrête de culpabiliser. Et arrête de venir ici. C'est mon chez Moi. S'il te plait.
[That was You. I am sure that was You. I knew it.]


Je Déménage. C'est décidé. Je Déménage.

Jeudi 21 septembre 2006 à 19:47

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