" Climb up over the top.
Survey the state of the soul.
You've got to find out for yourself
Whether or not you're truly trying.

Why not give it a shot?
Shake it. Take control and inevitably wind up.
Find out for yourself all the strengths you have inside of you.
"

Dimanche 30 décembre 2007 à 4:48

Il était très tard et j'étais très fatiguée.
Mais j'ai réussi à écrire leur nom sur un bout de papier.


PLAIN WHITE T'S - H e y T h e r e D e l i l a h

Dimanche 18 novembre 2007 à 4:19


En parcourant mes Favoris sous Internet Explorer (Oh Miracle! Jsuis devenue adepte de Mozilla), je suis tombée avec joie sur le journal en ligne* de ce monsieur. Sa jolie voix et ses textes légers ont ravis une nouvelle fois mes oreilles.Musique sans prétention. J'vous offre le premier clip.

Le Site Officiel

Dimanche 5 août 2007 à 18:06

Stop all the clocks, cut off the telephone,
Prevent the dog from barking with a juicy bone,
Silence the pianos and with muffled drum
Bring out the coffin, let the mourners come.

Let aeroplanes circle moaning overhead
Scribbling on the sky the message He Is Dead,
Put crepe bows round the white necks of the public doves,
Let the traffic policemen wear black cotton gloves.

He was my North, my South, my East and West,
My working week and my Sunday rest,
My noon, my midnight, my talk, my song;
I thought that love would last for ever: I was wrong.

The stars are not wanted now: put out every one;
Pack up the moon and dismantle the sun;
Pour away the ocean and sweep up the wood.
For nothing now can ever come to any good.

W.H Auden

Dimanche 17 juin 2007 à 22:27

[ Je l'écoutais attentivement. Je savais bien qu'elle avait raison. J'avais souvent tendance à exagérer. J'aurais voulu lui expliquer que j'étais encombré d'une gravité nouvelle depuis la disparition de mes parents, d'une affreuse lucidité sur la fragilité extrême de la vie. J'aurais voulu lui parler de mes insomnies, de mes peurs irrationnelles. J'aurais voulu lui raconter comment ce handicap m'interdisait tout espoir d'apaisement: je me mettais dans des états complétements excessifs dès que je ne parvenais pas à joindre Jeanne au téléphone par exemple, je m'appliquais à exprimer la solennité d'un adieu chaque fois que je disais au revoir à quelqu'un, j'échafaudais en permanence des scénarios catastrophiques à partir d'éléments finalement anodins: un retard, une absence, un regard un peu trop mélancolique. J'aurais pu lui expliquer tout ça. Mais j'ai préféreé rester silencieux. Pourtant, sans que rien ne soit dit, il m'a semblé qu'elle comprenait ce qui se passait en moi. J'avais le sentiment que mon corps était devenu transparent, elle avait subitement accès à tout ce que je gardais pour moi, j'étais nu, sans maquillage, et son regard semblait me dire: "Ne t'en fais pas, tout ira bien, tout finira par s'arranger ..." ]

Lundi 5 février 2007 à 0:24

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